FRÉDÉRIC CECHETTO

frédéric cechetto

FRÉDÉRIC CECHETTO

LES ORIGINES

Originaire de la Bigorre (Hautes-Pyrénées), j’ai grandi sur la ferme familiale. Chez mes parents tout ou presque est fait maison.

Cette histoire a développé chez moi un attachement particulier au terroir. En conséquence, cela a forgé en moi des convictions et une relation particulière à l’aliment.

ET APRÈS ?

Ingénieur agronome, je laisse un temps le terroir, pour faire mes armes dans des groupes agro-industriels. Me lancer dans ma propre aventure, en phase avec mes valeurs me trotte à l’esprit.

J’ai en effet toujours eu une sensibilité pour l’entreprenariat et l’innovation produit ainsi que l’envie de faire un projet qui ait du sens d’un point de vue social (créer du lien) et sociétal (faire des produits sains et qui rémunèrent justement le producteur).

C’est tout cela qui est combiné dans Bordelait !

ALORS POURQUOI CRÉER UNE LAITERIE ? 

J’ai d’abord pensé à m’associer dans une ferme laitière avec transformation fromagère, avant d’avoir finalement l’idée de créer une laiterie, pour me concentrer sur la fabrication et la création de produits (en m’adossant à des éleveurs de métier).

Le fait de créer et fabriquer un produit localement, en participant à la pérennité des fermes de la région tout en réjouissant les papilles des urbains est pour moi riche de sens. 

Des rencontres comme Paul Zindy de la Laiterie La Chapelle à Paris, Xavier Hugo-Gential de Fromaville (Saint-Ouen), Joannes Spoorenberg de la fromagerie Beausejour (33), le GAEC du Casterieu (65), la ferme de l’Oraille (Pont l’Eveque), des exemples (Laiterie Marzac à Revel), des stages à Fromaville, à la Laiterie La Chapelle, à la laiterie Paloise, à la fromagerie Xavier (31), au GAEC Cayenne (Camembert “le 5 frère”), Fromagerie Villiers (Neufchâtel), des formations (ENILIA de Surgères et ENIL d’Aurillac) ont été déterminants. Merci à eux !

Au final deux ans de travail auront été nécessaires pour construire mon propre projet et lui donner vie.

Pour ce projet, un partenariat avec l’EARL La Laitiere à Baignes-Sainte-Radegonde a été initié. Mathieu RENAUD élève un troupeau de 60 vaches. La ferme est Bio depuis 2014. Les vaches sont nourries à l’herbe 9-10 mois dans l’année. La ration est complétée par du foin et de l’ensilage d’herbe en hiver.

Le troupeau est constitué majoritairement de Jersiaises. Cette race originaire de l’île de Jersey, a un petit gabarit (430 kg en moyenne) ce qui permet de la faire pâturer 10 mois dans l’année (sans abîmer les pâtures quand elles sont encore humides). En outre elle a la particularité de produire un lait très riche donc très intéressant en fromagerie.

Pour ce projet, un partenariat avec l’EARL La Laitiere à Baignes-Sainte-Radegonde a été initié. Mathieu RENAUD élève un troupeau de 60 vaches. La ferme est Bio depuis 2014. Les vaches sont nourries à l’herbe 9-10 mois dans l’année. La ration est complétée par du foin et de l’ensilage d’herbe en hiver.

Le troupeau est constitué majoritairement de Jersiaises. Cette race originaire de l’île de Jersey, a un petit gabarit (430 kg en moyenne) ce qui permet de la faire pâturer 10 mois dans l’année (sans abîmer les pâtures quand elles sont encore humides). En outre elle a la particularité de produire un lait très riche donc très intéressant en fromagerie.

Mathieu RENAUD

Nous collectons du lait plusieurs fois par semaine auprès d’éleveurs situés autour de la fromagerie, que nous transformons ensuite en fromages et produits laitiers frais.

Nous privilégions des méthodes de transformation artisanales qui préservent la qualité du lait et le goût des produits. Ces derniers sont ensuite livrés par nos soins dans les magasins partenaires sur la Gironde.

Nous collectons du lait plusieurs fois par semaine auprès d’éleveurs de la région pour le transformer en fromages et produits laitiers frais dans mon atelier à Villenave d’Ornon.

Nous privilégions des méthodes de transformation artisanales qui préservent la qualité du lait et maximisent le goût des produits. Les produits sont ensuite livrés par mes soins dans les magasins partenaires sur l’agglomération Bordelaise

Frédéric Cechetto

SUBLIMONS LE LAIT DE NOS FERMES.

MAIS DU GOÛT BIEN SUR !

 

C’est tellement évident qu’il paraît presque aberrant de le mentionner. Et pourtant le secteur des fromages et yaourts, très industrialisé, dominé par quelques industries, ne fait pas exception.  A rebours de cette logique purement industrielle et financière, chez Bordelait, on cherche à faire du bon, et même de l’excellent. Faire toujours mieux plutôt que toujours plus.Les fromages sont au lait cru, ce qui garantit une qualité gustative et une complexité organoleptique supérieure. En outre, c’est le lait cru qui restitue le mieux les spécificités du terroir, car on préserve cette flore naturellement présente sur la ferme et la mamelle des vaches quand elles sont traites. Les yaourts, eux, sont au lait entier, non homogénéisé (c’est pourquoi ils ont une fine couche de crème sur le dessus, ce que ne peuvent avoir les “yaourts” industriels).

 

JUSTE RÉMUNÉRATION DES PRODUCTEURS !

 

 

Toute peine mérite salaire.

Dans l’agriculture et l’élevage en particulier, ce n’est malheureusement pas le cas.

La filière laitière en particulier est en crise structurelle.

Chez bordelait, nous attachons une importance à payer le juste prix à l’éleveur pour son travail.

On demande à l’éleveur de produire un lait cru fromageable, bio de qualité.

En contrepartie on paye son lait 10% de plus que la moyenne.

 

BIO & ÉCO-RESPONSABLE !

Le lait est issu de fermes bio. Cela garantit que les vaches sont à l’herbe et pâturent la majeure partie de l’année. Évident ? Pas tant que ça.

Dans beaucoup de fermes en système conventionnel (pour ne pas dire intensif), les vaches ne voient pas beaucoup les pâturages, voire pas du tout (elles restent à l’étable).

En bio les vaches sont moins “poussées”. Elles produisent (seulement) 5000 à 7000 L par an, contre 8000 à 10000 voire 12000 L en conventionnel.

Ce mode de culture extensif garantit un lait de meilleure qualité et des vaches en meilleure santé, plus heureuses et avec une longévité supérieure (alors que la durée de vie est de 4-6 ans en conventionnel, on atteint les 8-10 ans en bio).

goût

C’est tellement évident qu’il paraît presque aberrant de le mentionner. Et pourtant le secteur des fromages et yaourts, très industrialisé, dominé par quelques industries (capitalistiques et voraces), ne fait pas exception.  A rebours de cette logique purement industrielle et financière, chez Bordelait, on cherche à faire du bon, et même de l’excellent. Faire toujours mieux plutôt que toujours plus.Les fromages sont au lait cru, ce qui garantit une qualité gustative et une complexité organoleptique supérieure. En outre, c’est le lait cru qui restitue le mieux les spécificités du terroir, car on préserve cette flore naturellement présente sur la ferme et la mamelle des vaches quand elles sont traites. Les yaourts, eux, sont au lait entier, non homogénéisé (c’est pourquoi ils ont une fine couche de crème sur le dessus, ce que ne peuvent avoir les “yaourts” industriels).

 

producteur

Toute peine mérite salaire.

Dans l’agriculture et l’élevage en particulier, ce n’est malheureusement pas le cas.

La filière laitière en particulier est en crise structurelle.

Chez bordelait, nous attachons une importance à payer le juste prix à l’éleveur pour son travail.

On demande à l’éleveur de produire un lait cru fromageable, bio de qualité.

En contrepartie on paye son lait 10% de plus que la moyenne.

 

production

Le lait est issu de fermes bio. Cela garantit que les vaches sont à l’herbe et pâturent la majeure partie de l’année. Évident ? Pas tant que ça.

Dans beaucoup de fermes en système conventionnel (pour ne pas dire intensif), les vaches ne voient pas beaucoup les pâturages, voire pas du tout (elles restent à l’étable).

En bio les vaches sont moins “poussées”. Elles produisent (seulement) 5000 à 7000 L par an, contre 8000 à 10000 voire 12000 L en conventionnel.

Ce mode de culture extensif garantit un lait de meilleure qualité et des vaches en meilleure santé, plus heureuses et avec une longévité supérieure (alors que la durée de vie est de 4-6 ans en conventionnel, on atteint les 8-10 ans en bio).